Le frigo, symbole moderne de la consommation, devient le cœur de cette œuvre.
À l’intérieur, une réinterprétation du jardin d’Eden se déploie, invitant à réfléchir sur l’impact de nos habitudes alimentaires et technologiques.
Ici, la nature ne se trouve plus à l’extérieur mais confinée, soulignant comment la surconsommation menace et étouffe notre environnement.
Dans ce nouvel Éden, le fruit défendu se transforme en smartphone.
La symbolique de la pomme est ainsi conservée, tout en offrant une lecture contemporaine : notre rapport addictif aux nouvelles technologies.
Ce détournement questionne nos désirs, notre quête de nouveauté, et montre comment l’objet qui promettait l’accès à un monde meilleur finit par contribuer à l’éloignement de la nature et à la perte du paradis originel.
vidéo de l'oeuvre